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 Vaccination des enfants · Vaccins · Immunisations · Vaccinat

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MessageSujet: Vaccination des enfants · Vaccins · Immunisations · Vaccinat   Vaccination des enfants · Vaccins · Immunisations · Vaccinat EmptyVen 5 Mai - 14:09

Immunisation des enfants
Vaccination des enfants · Vaccins · Immunisations · Vaccination
Description



Les enfants viennent au monde avec une immunité naturelle qui les protège contre certaines infections. Les anticorps passent du placenta de la mère au fœtus avant la naissance, et protègent le nouveau-né contre l'infection. Les bébés nourris au sein continuent à recevoir des anticorps par le lait maternel. Cette immunité naturelle disparaîtra petit à petit, généralement au cours de la première année.

Autrefois, plusieurs maladies infantiles graves atteignaient des niveaux épidémiques et causaient des milliers de morts, en plus de laisser souvent des enfants lourdement handicapés, mentalement ou physiquement. Pour beaucoup de ces maladies, des vaccins ont été mis au point, qui assurent de façon efficace la protection contre celles-ci. Les vaccins exposent le corps à des virus ou à des bactéries (soient des fragments de virus ou de bactéries, soient des virus ou des bactéries entiers mais qui ont été tués ou affaiblis de façon à ne pas transmettre de maladie). L'organisme réagit en produisant des anticorps qui auront la capacité de « reconnaître » les virus et les bactéries et de les attaquer lorsqu'ils se présenteront plus tard. La vaccination permet au système immunitaire d'être préparé à empêcher les virus et les bactéries de déclencher des infections. L'immunisation donne souvent une protection à vie contre des maladies autrefois courantes.

Vaccins pour des maladies spécifiques
Il existe des vaccins pour un certain nombre de maladies, notamment :

la coqueluche
la diphtérie
l'Haemophilus influenzae de type b
l'hépatite B
la méningite
les oreillons
la pneumonie
la poliomyélite
la rougeole
la rubéole
le tétanos
la varicelle
Il existe d'autres vaccins, pour des maladies moins courantes, et qui sont généralement administrés aux adultes plutôt qu'aux enfants.

La coqueluche est causée par une bactérie extrêmement contagieuse qui infecte la bouche, le nez et la gorge. Elle est caractérisée par une toux intense qui peut empêcher de manger, de boire ou de respirer normalement. Les jeunes enfants, en particulier les nourrissons de moins d'un an, sont les plus susceptibles d'attraper la coqueluche. L'infection est souvent sérieuse, et l'enfant doit être hospitalisé. Parmi les complications possibles, citons la pneumonie, des convulsions, et dans de rares cas, une inflammation du cerveau (encéphalite) ou encore la mort.

La diphtérie est provoquée par une souche toxique de bactérie (Corynebacterium diphtheriae) qui infecte la gorge, la bouche et le nez, et qui est plutôt contagieuse. Des maux de gorge, une fièvre légère et des frissons sont des symptômes qui peuvent être suivis par l'apparition d'une membrane grisâtre qui grandit en travers de la gorge, rendant la déglutition difficile. Lorsque la membrane recouvre la trachée, l'air ne passe plus et la personne risque de suffoquer. La diphtérie, si on la traite pas suffisamment tôt, produit une toxine qui se propage dans l'organisme et l'empoisonne. Une paralysie temporaire ou une insuffisance cardiaque risque alors d'en résulter. La diphtérie tue environ 10 % des personnes qu'elle touche. Un très faible nombre de cas de diphtérie (2 à 5 par an) a été rapporté au Canada.

La bactérie Haemophilus influenzae de type b est source de graves maladies, en particulier chez les enfants de moins de cinq ans. Elle peut entraîner une pneumonie, ou des infections du sang, des articulations, des os, des tissus mous, de la gorge et de l'enveloppe du cœur. Elle peut également provoquer une méningite (inflammation de la membrane entourant le cerveau et la moelle épinière) ou une pneumonie.

Le virus de l'hépatite B est transmis par du sang contaminé. Il peut également passer de la mère à l'enfant durant l'accouchement. Il peut causer une inflammation du foie (hépatite), la destruction des tissus normaux du foie (cirrhose), ou le cancer du foie.

La méningite est une maladie rare mais grave, associée à une inflammation de la membrane recouvrant le cerveau et la moelle épinière. Elle commence par une fièvre soudaine, un violent mal de tête, une raideur du cou, des nausées et des vomissements et une sensibilité à la lumière. Le taux de mortalité de la méningite bactérienne (lorsqu'elle est traitée) est de 10 % à 20 %, et parmi ceux qui s'en remettent, plusieurs en gardent des séquelles permanentes au cerveau. La méningite bactérienne est le plus souvent causée par le Streptococcus pneumoniae ou par le Méningocoque ou Neigesseria meningitidis (maintenant que le Haemophilus influenzae de type b a été presque éradiqué grâce au vaccin Hib). Ces deux bactéries peuvent aussi être la cause d'autres graves infections du sang, des poumons et des articulations. Beaucoup d'infections des oreilles sont également dues au Streptococcus pneumoniae.

Les oreillons s'accompagnent de fièvre, de maux de tête, et d'une inflammation des glandes salivaires. Chez environ 1 enfant sur 10 ayant les oreillons, une méningite se développe ou, quelquefois, une encéphalite (inflammation du cerveau). Il peut en résulter la surdité, mais rarement des dommages permanents. Un homme sur quatre attrapant les oreillons présentera aussi un gonflement des testicules, qui deviendront douloureusement enflammés, avec l'infertilité comme conséquence possible.

La pneumonie est une infection des poumons qui peut être causée par une bactérie, un virus ou un champignon. Elle peut toucher les adultes autant que les enfants. Une pneumonie peut s'ajouter à une autre infection comme la grippe, la coqueluche, la rougeole ou la varicelle. Ses symptômes peuvent amener une personne infectée à expectorer du mucus, à avoir de la difficulté à respirer, à ressentir de la douleur dans la poitrine, à avoir de la fièvre et des frissons. Les cas graves de pneumonie peuvent nécessiter l'hospitalisation. Une pneumonie causée par une bactérie peut être traitée avec des antibiotiques. On peut prévenir certains cas de pneumonies grâce à des vaccins, comme un vaccin antipneumococcique, un vaccin contre Haemophilus influenzae de type b (HIB) ou un vaccin antigrippal.

La poliomyélite est causée par un virus qui vit dans le nez, la gorge, et les intestins des individus infectés. Le virus est contagieux même lorsque le porteur ne présente aucun symptôme. Les formes bénignes durent habituellement quelques jours, et sont accompagnées de fièvre, de nausées, de maux de tête, de gorge, de ventre, et parfois de douleur ou de raideur du cou, du dos et des jambes. La polio paralysante, plus grave, provoque également de graves douleurs musculaires. Environ 1 % des personnes touchées par cette maladie se retrouvent paralysées. D'autres se rétablissent complètement ou ne gardent que de légères incapacités physiques.

La rougeole, les oreillons et la rubéole sont toutes les trois causées par des virus et sont extrêmement contagieuses. La rougeole dure de une à deux semaines et s'accompagne de fièvre élevée, d'éruptions cutanées, de toux, avec le nez qui coule et les yeux qui larmoient. Environ 10 % des enfants se plaindront également d'un mal d'oreilles, et environ 5 % attraperont une pneumonie. Un enfant sur mille ayant la rougeole pourra également avoir une inflammation du cerveau (encéphalite) - qui provoque des convulsions, la surdité ou des dommages au cerveau -, ou encore mourir, dans 1 cas sur 1000. Les femmes enceintes qui attrapent la rougeole risquent d'accoucher avant terme, ou même de perdre leur fœtus (fausse-couche).

La rubéole est une maladie généralement bénigne, causant une fièvre légère et une éruption cutanée qui ne dure que deux ou trois jours. Chez les adultes, elle peut s'accompagner d'une arthrite temporaire et de gonflement des ganglions à l'arrière du cou. Entre 20 % et 25 % des femmes qui contractent la rubéole au début de leur grossesse risquent d'avoir un bébé souffrant de graves défauts à la naissance, parmi lesquels la cécité, des dommages au cœur et au cerveau, de graves dommages artériels, la surdité et un cerveau plus petit que la normale. Chez les femmes enceintes, la rubéole peut également provoquer une fausse-couche.
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MessageSujet: Re: Vaccination des enfants · Vaccins · Immunisations · Vaccinat   Vaccination des enfants · Vaccins · Immunisations · Vaccinat EmptyVen 5 Mai - 14:09

Le tétanos est causé par une bactérie que l'on trouve communément dans le sol, dans le fumier et dans le tube digestif des personnes et des animaux. Quand la bactérie pénètre dans une coupure ou une blessure profonde et difficile à nettoyer, elle peut se multiplier et produire une toxine. Cette toxine empoisonne le système nerveux, causant des maux de tête et une raideur musculaire dans le cou et les mâchoires. À mesure que la toxine s'accumule, elle provoque des spasmes des mâchoires, du cou et des membres, une rigidité dans les muscles abdominaux et des convulsions. Les symptômes sont douloureux et durent pendant des semaines. Le patient doit souvent être hospitalisé.

La varicelle est une maladie infantile très courante et dont la cause est un virus appelé varicelle-zona. C'est une maladie très contagieuse qui se transmet dans l'air ou au contact physique avec une personne dont les lésions sont ouvertes.

Calendrier des vaccinations
Les vaccins sont généralement administrés par injections, qui combinent parfois plusieurs maladies en une seule fois. Ils sont donnés à différentes étapes de la vie de l'enfant, habituellement au moment des visites de routine chez le médecin ou le pédiatre. Le carnet de vaccination de l'enfant est souvent exigé lorsque ce dernier entre à l'école.

Les effets secondaires des vaccins sont souvent légers, et peuvent se manifester par de la fièvre, une petite douleur au site de l'injection, de la fatigue et une éruption cutanée. Ils disparaissent au bout de quelques jours. Les complications sérieuses sont très rares.

Dans certains cas, les vaccinations doivent être retardées ou arrêtées. Si votre enfant a des réactions allergiques sévères à un vaccin particulier, le reste des injections pourrait être omis. Si votre enfant a d'autres allergies, aux antibiotiques par exemple, demandez à votre médecin si cela a une incidence sur la vaccination. Chez un enfant malade, ou dont le système immunitaire est déprimé, il sera peut-être nécessaire de retarder le programme normal de vaccination. Si une injection est omise, cela n'oblige pas à recommencer la plupart des injections à zéro, et un petit retard ne compromet en rien l'immunisation finale.

Le vaccin contre l'hépatite B est recommandé pour tous les enfants, et on tend de plus en plus à l'administrer peu après la naissance. Toutefois dans certaines régions, il n'est pas administré avant l'entrée de l'enfant dans sa septième année d'école.

Pour les nouveau-nés, la première injection est donnée par le médecin ou le pédiatre après que le bébé a quitté l'hôpital, habituellement lorsqu'il a entre 0 et 2 mois.
La deuxième injection est donnée au moins un mois après la première, habituellement lorsque le bébé a entre 1 et 4 mois.
La troisième injection se fait lorsqu'il a entre 6 et 18 mois.
On devrait toujours faire un test de dépistage routinier du virus de l'hépatite B chez les femmes enceintes et, lorsque ce test se révèle positif, on devrait administrer au nouveau-né la globuline immune de l'hépatite B (qui aide à protéger le nourrisson contre l'hépatite B en attendant que les immunisations commencent à agir). Ensuite, on recommande de faire au nourrisson trois injections du vaccin contre l'hépatite B.

Le vaccin associé diphtérie, tétanos et coqueluche (DTC) est généralement administré au nourrisson à 2 mois, 4 mois, 6 mois et 18 mois. Un rappel est effectué lorsqu'il a entre 4 et 6 ans. Un autre rappel pour le tétanos et la diphtérie est effectué vers l'âge de 15 ans. Après cela, on procède à des rappels tous les 10 ans pour maintenir la protection.

Le vaccin Hib (Haemophilus influenzae de type b) est généralement administré lorsque le nourrisson a 2, 4 et 6 mois, et ensuite on effectue un rappel aux alentours de 18 mois.

L'immunisation contre la poliomyélite seule est obtenue par un vaccin de poliovirus inactivé administré à 2 mois, 4 mois, entre 6 et 18 mois, et à nouveau lorsque l'enfant commence à aller à l'école (entre 4 et 6 ans). On a déjà utilisé couramment un vaccin antipolio oral, mais il représentait un léger risque de causer une poliomyélite paralysante.

Le vaccin associé contre la rougeole, les oreillons et la rubéole (ROR) est administré entre 12 et 15 mois. Une deuxième injection est généralement donnée entre 4 et 6 ans, avant que l'enfant n'entre à l'école.

Le vaccin contre la varicelle est donné de plus en plus de façon routinière entre 12 et 18 mois. Il est souvent recommandé pour les enfants plus âgés ou les adultes qui n'ont pas eu la varicelle.

Le vaccin antipneumococcique conjugué est conseillé pour protéger des infections pneumococciques, qui sont à l'origine d'un certain nombre de maladies, parmi lesquelles la pneumonie ou les infections des oreilles.

Chez les nourrissons on recommande quatre doses du vaccin conjugué administrées à l'âge de 2 mois, 4 mois, 6 mois et entre 12 et 15 mois.
Les nourrissons entre 7 et 11 mois qui n'ont pas été immunisés devraient recevoir trois doses du vaccin.
Les enfants entre 12 et 23 mois non vaccinés devraient recevoir deux doses espacées de six à huit semaines.
L'immunisation devrait être sérieusement considérée pour les enfants de plus de 2 ans, qui n'ont besoin que d'une seule dose, à moins qu'ils aient certains problèmes d'immunité sous-jacents, auquel cas ils devraient recevoir une deuxième dose six à huit semaines plus tard.

Avec l'arrivée du vaccin men-C conjugué, l'immunisation routinière contre la méningite causée par le Méningocoque de type C est maintenant recommandée pour tous les enfants. La vaccination des enfants est recommandée à 2 mois, 4 mois et 6 mois (injections espacées d'au moins 4 semaines) en même temps que la première immunisation par les autres vaccins. Pour les enfants de plus d'un an, une seule dose du vaccin conjugué men-C est recommandée.

Ce qui préoccupe dans le fait de vacciner les enfants
Les enquêtes menées par le Laboratoire de lutte contre la maladie montrent qu'environ 1 % des Canadiens ne se font pas immuniser pour des raisons médicales, religieuses, ou philosophiques. De plus en plus les gens inquiets des effets secondaires de l'immunisation s'interrogent sur la nécessité de faire vacciner leurs enfants. Il est important de comprendre les risques et les avantages de l'immunisation. Afin de pouvoir prendre une décision éclairée, parlez de vos préoccupations avec votre médecin.

Voici quelques-unes des questions soulevées au sujet de l'immunisation :

Sûreté des vaccins et effets à long terme : on a craint que les vaccins ne soient la cause d'une augmentation des cas de mort subite du nourrisson (MSN), d'asthme et d'autisme. Lorsqu'un problème de santé se présente chez un enfant après une vaccination, il est normal de s'interroger sur la possibilité qu'il y ait un lien entre les deux. Il existe deux sortes de liens : ou bien le vaccin a rendu l'enfant plus susceptible à l'affection, ou bien il s'agit d'une coïncidence qui fait que les deux apparaissent en même temps. En règle générale, il paraît évident qu'il s'agit d'une coïncidence - il n'a jamais été démontré que les vaccins soient en cause dans les cas cités. Des études faites sur de larges populations d'enfants n'ont pas apporté la preuve d'un lien entre le vaccin ROR et l'autisme, et sont arrivées à la conclusion que le taux d'enfants autistes n'a pas augmenté depuis l'introduction du vaccin.
Surcharge du système immunitaire : certains pensent que le système immunitaire des enfants qui reçoivent plusieurs vaccins à la fois risque d'être surchargé. Les vaccins contiennent des virus ou des bactéries (entiers ou fragmentés) qui ont été modifiés de façon à ne pas causer de maladie. De fait les enfants sont exposés quotidiennement à des virus et à des bactéries dans leurs activités normales, telles que manger par exemple. Le nombre de virus ou de bactéries auxquels un enfant est exposé par un vaccin n'ajoute pas de manière significative à ceux qu'il rencontre chaque jour au cours de ses activités normales.
Efficacité : les personnes qui s'opposent à la vaccination proclament souvent que de meilleurs régimes alimentaires et une meilleure hygiène - et non les vaccinations - sont à l'origine de la réduction du nombre de maladies infantiles. S'il est vrai qu'une meilleure hygiène et une meilleure nutrition peuvent améliorer la santé en général et réduire le risque d'attraper certaines maladies, la diminution de la fréquence des maladies infantiles qu'un vaccin peut prévenir est surtout due à la vaccination. Par exemple, les cas d'Haemophilus influenzae de type b (Hib) étaient courants jusqu'à l'introduction du vaccin dans les années 90. À la suite de cette dernière, le nombre de cas a chuté de façon très significative. L'hygiène et l'alimentation n'étant pas meilleures aujourd'hui que dans les années 90, il est peu vraisemblable qu'on puisse leur attribuer cette énorme diminution du taux d'infection.
Au Canada, l'incidence des maladies qu'un vaccin peut prévenir se limite à quelques dizaines de cas, voire à zéro cas, selon la maladie. Le Canada exerce une surveillance continue des vaccins mis en marché dans le pays : la sûreté de chaque lot est vérifiée. La collaboration avec les réseaux provinciaux de santé a eu pour effet de permettre de rapporter la plupart des cas de maladies ou de complications liées à une vaccination.

L'Organisation mondiale pour la santé (OMS) est dotée d'un organe consultatif qui surveille et évalue la sûreté des vaccins à l'échelle mondiale. De concert avec les gouvernements et les organisations internationales, l'OMS émet des recommandations scientifiques concernant les vaccinations, basées sur une information et des évaluations internationales.

Étant donnée la gravité potentielle de beaucoup de ces maladies infantiles qu'un vaccin peut prévenir, l'immunisation est considérée par la communauté médicale comme étant le choix le plus sécuritaire. Certes les effets secondaires existent, mais ils pâlissent devant les conséquences dévastatrices que les grandes épidémies ont eues sur les populations, même au 20e siècle.
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