Aider les jeunes à dire non a la drogue - Canada/ France

Agir, réagir, aider, être aidé

Présentation :


Cette page présente "Agir, réagir, aider, être aidé", par rapport aux dépendances.


Agir, réagir :


Une vie est une somme d'expériences.
Une quête d'émotions et de connaissances nouvelles qui apportent des succès mais aussi des échecs.
Entre liberté et responsabilité, l'enfant puis l'adolescent apprend progressivement à devenir autonome. Cet apprentissage individuel, l'amène, une fois adulte à connaître ses obligations et à savoir prendre des décisions dans sa vie personnelle et sociale.
Si l'adolescence est une période d'évolution particulièrement importante, le mouvement ne cesse pas pour autant dès l'entrée dans l'âge adulte ! L'équilibre s'ajuste tout au long de la vie, au-delà des épreuves, des succès, des joies, des ruptures et des chagrins.

L'usage, l'usage nocif et la dépendance concernent bien plus les adultes que les adolescents ou les jeunes. Mais la plupart des consommations problématiques commencent avant 20 ans.
Si ce chapitre consacre une place importante à l'adolescence c'est qu'il s'agit d'informer plus particulièrement les adultes, de leur donner les informations nécessaires pour aider les plus jeunes à vivre expériences et découvertes à moindre risque.

Adolescence et expériences :

Première cigarette, première ivresse, premier amour, première relation sexuelle : l'adolescence est le temps des expériences.
Ces essais passent par des excès. Qu'ils soient "bruyants" (attitudes provocatrices) ou "silencieux" (repli sur soi), ces manifestations ne signifient pas a priori que l'adolescent est en difficulté.
Cette période de recherche et d'hésitations, quête d'autonomie ou maintien du lien de dépendance vis-à-vis des parents, est souvent compliquée à vivre pour l'adolescent et son entourage. Il s'agit pour les adultes, les parents en particulier, de maintenir et d'affirmer les valeurs qui leur semblent importantes pour l'éducation de leurs enfants.
Tout en dosant leurs interventions et l'affirmation de leur autorité, il est indispensable pour les adultes de marquer les limites et de mettre en garde un adolescent contre les dangers qu'il peut encourir. Il est par ailleurs tout aussi nécessaire de le valoriser, de l'encourager, et de favoriser ses contacts avec l'extérieur.
Aider un adolescent à trouver ses forces personnelles est aussi essentiel pour lui que de connaître les limites posées, particulièrement s'il manifeste une attitude de repli, s'il éprouve un besoin important de confiance et manque d'estime de lui-même.

Le rôle de l'entourage :
Chaque personne instaure une relation unique à l'autre et au monde, développe des stratégies personnelles pour éprouver du plaisir ou pour ne pas souffrir.
La consommation des substances psychoactives occupe une place importante dans ces stratégies. Aucune recette n'existe donc pour éviter qu'un individu, et en particulier une personne jeune, ne fasse usage de substances psychoactives.
L'adolescence est l'âge de tous les possibles, des expériences et des rencontres.

Ce qui peut être vécu dans un moment particulier peut ne pas prendre un caractère définitif, et rien ne sert de dramatiser un essai ou une erreur.
Dans une période de crise, il s'agira pour l'adulte de trouver le bon moment pour se faire entendre, et d'adopter une attitude appropriée.
S'il n'y parvient pas, il peut rechercher l'appui de personnes compétentes.

Quelles questions se poser face à l'usage d'une substance psychoactive ?

• Quel(s) est (sont) le(s) produit(s) consommé(s) ?
  
• La consommation est-elle rare, fréquente ou régulière ?
  
• Quelle est la quantité consommée ?
  
• Dans quelles circonstances consomme cette personne, seule ou en groupe ?
  
• Y a-t-il des conséquences nocives ou des dommages ?
  
• Quelle importance le consommateur reconnaît-il à cet usage ?
  
  
  
  • Pour s'amuser de temps en temps ?
    
  • Pour faire comme les autres ?
    
  • Parce qu'il l'estime indispensable à son bien-être ?
    
  
  
  
  

S'interroger, parler en toute confiance d'une consommation, quelle qu'elle soit, est nécessaire.
La plupart des consommations resteront sans conséquences graves si le dialogue est instauré.
Malgré tout, dans certaines situations, il y a lieu de se faire aider. Accepter cette aide, c'est souvent trouver des solutions à des situations jugées insupportables.
Chercher conseil et assistance n'est pas une marque de faiblesse ou une trahison.


Aider :


Donner des repères :
Refuser ou fuir les conflits ne résout pas les problèmes. Dire non à un jeune enfant qui s'apprête à faire quelque chose de dangereux ou d'interdit, dire non à un adolescent sans avoir peur d'exercer son autorité, sont des attitudes éducatives tout aussi essentielles pour lui que celles qui consistent à l'ouvrir à des connaissances nouvelles.

Retarder le plus possible l'expérimentation du tabac et de l'alcool peut atténuer le risque d'un comportement d'usage nocif ou d'une dépendance ultérieure.
Des études confirment la place éducative de l'interdit dans les comportements de consommation des plus jeunes. Inciter l'adolescent à retarder le plus possible l'expérimentation du tabac et de l'alcool peut atténuer le risque d'un comportement d'usage nocif ou d'une dépendance ultérieure. Par ailleurs, des enquêtes récentes réalisées auprès de jeunes confirment le rôle positif joué par le dialogue parents/adolescents dans le comportement tabagique des jeunes. Les adolescents qui déclarent avoir une communication facile avec leurs parents sont plutôt moins nombreux à fumer (21,9 %), alors que ceux qui affirment qu'il est difficile de parler avec leurs parents de choses qui les préoccupent vraiment sont 30,5 % à fumer du tabac régulièrement.
Ne pas préjuger d'une consommation :

Un adolescent qui fume occasionnellement du cannabis n'est pas un toxicomane.
Cette consommation ne l'entraînera pas forcément dans "l'escalade" vers des produits de plus en plus dangereux. Les proches peuvent aider à cette prise de conscience en donnant des informations de base claires, précises et exactes destinées à l'aider à évaluer ses vulnérabilités et ses points forts. Face à une offre de produits et à l'influence de la consommation de l'entourage, il est alors plus facile de faire des choix responsables.
Les consommations abusives et les dépendances font partie le plus souvent d'un ensemble de comportements à risques ou de symptômes qui sont l'expression de difficultés passagères ou plus profondes, de souffrances, qu'il s'agit de prendre en compte au cas par cas.

Où s'informer et se documenter ?
Dans les centres de documentation spécialisés, les centres d'information jeunesse, les Comités d'éducation pour la santé implantés en France...
Cliquer ici pour consulter le repertoire des adresses utiles de la MILDT.
Pour en parler :

• Drogues Alcool Tabac Info Service :
  7 jours sur 7 - 24 heures sur 24 - Appels anonymes et gratuits - 113
  
• Croix-Rouge Ecoute : 0 800 858 858
  
• Ecoute Dopage : 0 800 15 2000
  
• Fil Santé Jeunes : 0 800 235 236
  
• SIDA Info Service : 0 800 840 800
  
• Tabac Info Service : 0 803 309 310
  

Prévenir et informer :
Des actions de prévention sont conduites par des organismes publics et associatifs auprès des jeunes et des parents. Le plus souvent, elles sont élaborées en partenariat avec des spécialistes, des professionnels de la santé, de la police ou de la gendarmerie, des éducateurs de quartiers...
Ces actions peuvent se dérouler :

• en milieu scolaire, plus généralement dans les établissements du secondaire par le biais des CESC.
  (Les Comités d'éducation pour la santé et la citoyenneté (CESC) regroupent les membres de la communauté éducative, les familles et les acteurs de la vie du quartier. Plus de 5000 établissements scolaires disposent d'un CESC en 2000.) ;
  
• dans le cadre d'activités sportives ou culturelles dans les lieux qui rassemblent des jeunes ;
  
• dans les centres d'apprentissage ;
  
• dans les lieux festifs ("rave parties", festivals, concerts...), des actions d'information et de réduction des risques s'adressent aux participants pour éviter par exemple qu'ils prennent le volant en étant sous l'effet d'un produit ou qu'ils consomment d'autres produits toxiques.
  

Trouver des solutions :

62 points Ecoute Jeunes
Ils accueillent les adolescents, les jeunes adultes et les parents.

• Les Points Ecoute Jeunes (au nombre de 62 fin 1998).
  Ce sont des lieux d'accueil, d'écoute et de parole qui s'adressent aux jeunes les plus en difficulté. Ils ont pour objectif la prévention des conduites à risques, notamment l'usage de substances psychoactives et la prévention des conduites addictives.
  

16 Points Ecoute Parents

• Les Points Ecoute Parents (au nombre de 16 fin 1998).
  Ils accueillent et soutiennent les familles confrontées aux conduites à risques des adolescents. Dans le cadre d'entretiens individuels, ou de groupes de parole, ils cherchent à arrêter la détérioration des relations, et à rétablir la communication familiale parents/enfants.
  

Trouver des soins :
Un premier contact auprès d'un médecin généraliste ou éventuellement d'un spécialiste (psychologue, psychiatre) peut aider à trouver des soins adaptés, surtout si la consommation de substances psychoactives est associée à des difficultés psychologiques ou de comportement général.
Dans les hôpitaux, les centres de santé, les centres médico-psychologiques, conseils et soins peuvent être donnés à tous ceux qui en font la demande.
De nombreux établissements de soins spécialisés existent sur l'ensemble du territoire et proposent d'accompagner, de soigner le consommateur et, selon les cas et l'établissement, son entourage.


250 CSST
Les CSST (Centres de soins spécialisés pour toxicomanes) accueillent toute personne souffrant d'une dépendance. Les 250 organismes ouverts en France, proposent une grande diversité de prestations (médicales, psychologiques, sociales, éducatives).
Une cinquantaine d'établissements offrent un hébergement (appelé généralement postcure) aux personnes qui en font la demande. Il leur est possible de construire un projet personnel en vue d'une stabilisation.
Les hébergements sont organisés selon le projet et la situation individuelle : dans un cadre collectif, dans des réseaux de familles d'accueil, ou encore en appartements thérapeutiques relais. Des hébergements de transition et d'urgence, des nuitées d'hôtel peuvent être proposées selon la structure d'accueil, la demande et la situation de la personne.

En milieu pénitentiaire, des actions en faveur des détenus usagers de drogues et d'alcool sont conduites afin de préparer leur sortie, en liaison avec des institutions extérieures.

200 CCAA
Soins en alcoologie :

• en ambulatoire, les CCAA (centres de cure ambulatoire en alcoologie) proposent des soins et un accompagnement social aux personnes en difficulté avec l'alcool (200 centres sont implantés en France) ;
  
• en milieu hospitalier, des unités d'accueil en alcoologie accueillent 20 000 malades par an et leur proposent un traitement ;
  
• des centres de postcure proposent des soins et une aide à la réinsertion sociale.
  

Des consultations d'aide au sevrage tabagique, implantées le plus souvent dans les hôpitaux, prennent en charge les fumeurs les plus dépendants et les personnes ayant déjà souffert d'une maladie liée au tabac.
Des consultations médicales en médecine générale sont aussi proposées. Le sevrage tabagique peut être accompagné d'un substitut nicotinique (patchs, gommes à mâcher) ; ces traitements sont aussi délivrés aux fumeurs hospitalisés.
La réduction des risques :
A partir de 1987 plusieurs mesures ont été prises pour favoriser l'accès au matériel d'injection stérile pour les usagers de drogues par voie intraveineuse, dans le but d'éviter la contamination par le virus du sida et celui de l'hépatite C (vente libre des seringues, programmes d'échange de seringues).

Dans le même temps se sont développés des lieux d'accueil où les usagers de drogues les plus en difficulté trouvent de l'aide, une écoute et des soins de première urgence ("boutiques" ou programmes ouverts pendant la journée et "sleep-in" ouverts la nuit). Il existe aussi des automates (machines) qui distribuent des seringues contre un jeton que l'on peut se procurer chez les pharmaciens ou dans les associations spécialisées, ou contre une seringue usagée.
Enfin, les pharmacies d'officine vendent des seringues ou des "kits" (Stéribox) qui outre des seringues, contiennent un tampon alcoolisé, de l'eau pour diluer le produit et un récipient de chauffe.

Aide Montréal et environs

http://www.teljeunes.com/thematiques/d/



Téléphone: (514) 527-2626[size=9] Montréal et environs

1-800-265-2626
Ailleurs


Campagnes jeunesse
Tu as des problèmes de drogue ou d’alcool? Quelque chose à propos de ta sexualité te chicote? Tu sens que tu perds pied? Il existe une grande variété de services d’aide pour les jeunes comme toi. C’est confidentiel, anonyme et gratuit! N’hésite pas, au bout du fil… ou de ton clavier, il y a quelqu’un pour t’écouter ou te guider.
Les sites répertoriés dans cette section sont tirés du portail Internet pour les jeunes mis en ligne par le gouvernement du Québec. Tu peux aller y faire un tour, tu y trouveras une multitude de renseignements pratiques dans des domaines qui t’intéressent.

Drogue et alcool
Certains de tes amis font usage de drogue ou d’alcool. Tu consommes peut-être toi aussi. Tu te poses des questions. La plupart de ces sites sont faits spécialement pour toi ou contiennent une section qui t’est destinée. Tu y trouveras beaucoup d’information sur ces sujets et, si nécessaire, des références pour contacter quelqu’un à qui tu pourras en parler.

Parlons drogue
Un site où tu peux vérifier si ce que tu entends à propos des drogues est exact. Tu peux le consulter pour savoir les différents noms qu’on leur donne, leurs effets, etc. Tu y trouveras aussi quelques repères pour établir ton profil de consommateur. Un bon endroit pour savoir ce que d’autres en pensent. En plus, il y a une foire aux questions pas mal intéressante!

Toxicomanie
Ce n’est pas spécialement un site pour les jeunes, mais tu peux y apprendre plein de choses à propos de la dépendance à l’alcool, aux drogues, aux médicaments et au jeu. Il y a des témoignages à partager, des forums de discussion, des ressources pour les personnes aux prises avec ce genre de problèmes et même… un coin humour!

Éduc’Alcool
Tu connais peut-être le slogan La modération a bien meilleur goût ? Et bien, c’est eux! Ce site peut t’aider à prendre des décisions responsables et éclairées face à la consommation d’alcool. Il y a une section spécialement pour les jeunes. C’est un site bilingue.

Jparle
Si tu cherches des moyens de te faire entendre et surtout de te faire comprendre, tu trouveras des trucs vraiment utiles sur ce site. Dès le départ, on te propose ta propre porte d’entrée (point de vue des ados). Ça augure bien! Le monde est divisé en deux camps : les adultes et les ados. Mais attention, c’est pour la bonne cause! Ce qu’on veut, c’est que le courant passe. Un site à voir pour celles et ceux qui souhaitent garder ou rétablir le contact.

Tel-jeunes
Tu te poses des questions sur ta santé, ta sexualité? Tu t’inquiètes à propos de tes relations avec ta famille ou avec tes amis? De ton vécu à l’école? Tu veux en savoir plus à propos de la drogue? Tu veux aider un ami? Va faire un tour sur ce site. D’autres jeunes comme toi y ont laissé des témoignages. Si tu as besoin de parler à quelqu’un rapidement, il y a aussi un service d’aide téléphonique pour toutes les régions du Québec : 1 800 263-2266. C’est gratuit, anonyme et confidentiel.

Jeunesse, j’écoute
Un site bilingue où tu peux partager une expérience et t’informer sur différents sujets. Besoin d’en parler à quelqu’un? Tu peux poser des questions par courriel et espérer une réponse dans les 3 à 6 jours qui suivent. Si c’est plus urgent, tu peux utiliser la ligne téléphonique pour communiquer avec un conseiller professionnel : 1 800 668-6868. Ça ne coûte rien et tu n’as pas besoin de donner ton nom.



Sexualité, prévention du suicide, santé mentale
Vivre ton premier jour de classe te paraît une épreuve insurmontable? Tu as l’impression que ton sac d’école pèse une tonne? Ce sont peut-être des problèmes personnels qui l’alourdissent. L’idée que tu puisses te retrouver dans la même classe que ton « ex » te rend très nerveux. Tu as peur de la réaction de tes camarades lorsqu’ils apprendront ton homosexualité? Tu es découragé. Dans ta tête, on dirait que tout est mêlé. Ces sites te donnent des pistes pour t’aider à y voir plus clair et à trouver des solutions.

Aimer sans violence
Dans ta relation amoureuse, ça brasse parfois pas mal fort! Le ton monte, les insultes pleuvent. Comme tu n’as pas beaucoup d’expérience, tu ne sais pas si ce qui se passe entre vous deux est correct. Chose certaine, tu ne te sens pas bien là-dedans. Ce site peut t’aider à faire la différence entre ce qui est acceptable et ce qui ne l’est pas. Tu as même la possibilité d’y passer des tests pour évaluer ta situation, ton comportement et celui de ton ou de ta partenaire.

Gai Écoute
Ce site n’est pas spécifiquement pour les jeunes, mais il y a une section qui t’est dédiée. Si, par exemple, la découverte et la prise de conscience de ton homosexualité te causent de l'angoisse, de l'insécurité et des questionnements, c’est une bonne référence. Gai Écoute te propose différents moyens d’en parler avec d’autres en toute confidentialité, sans avoir à t’identifier : clavardage, courrier électronique et écoute téléphonique. Pour la région de Montréal, le numéro est le (514) 866-0103. Ailleurs au Québec, tu composes le numéro sans frais suivant : 1 888 505-1010. Alors, si tu as besoin de te confier, n’hésite pas, c’est gratuit!

Jcapote
Tu es en âge de vivre ta sexualité? Une navigation sur ce site est fortement recommandée. Tu y trouveras plusieurs conseils qui ne sont pas là pour gâcher ton plaisir, mais pour te permettre de vivre tes moments d’intimité en toute tranquillité. En fait, c’est tout ce que tu veux savoir sur le condom et que tu n’oses pas demander! Attention, les filles, cela vous concerne aussi!

Ma sexualité
Le site masexualité.ca est une ressource précieuse pour toi, tes parents, les adultes en général, les enseignants et les professionnels de la santé. Il offre une information fiable et à jour en matière de santé sexuelle. Tu y trouveras, entre autres choses, des trucs utiles pour parler de sexualité avec ton amour, tes camarades, tes parents ou ton médecin ainsi que des conseils pour ta visite à la clinique.

Agression sexuelle
Tu as été témoin de gestes à caractère sexuel qui te troublent? Tu vis une situation où quelqu’un te force à avoir des comportements sexuels qui ne te plaisent pas? Une agression sexuelle, c’est quoi au juste? Qui peut t’aider? Tu as besoin d’en parler? Va faire un tour sur ce site. Tu y trouveras des réponses à tes questions, de bons conseils et beaucoup d’information pour mieux comprendre ce genre de crime.

Jparle
Si tu cherches des moyens de te faire entendre et surtout de te faire comprendre, tu trouveras des trucs vraiment utiles sur ce site. Dès le départ, on te propose ta propre porte d’entrée (point de vue des ados). Ça augure bien! Le monde est divisé en deux camps : les adultes et les ados. Mais attention, c’est pour la bonne cause! Ce qu’on veut, c’est que le courant passe. Un site à voir pour celles et ceux qui souhaitent garder ou rétablir le contact.

Tel-jeunes
Tu te poses des questions sur ta santé, ta sexualité? Tu t’inquiètes à propos de tes relations avec ta famille ou avec tes amis? De ton vécu à l’école? Tu veux en savoir plus à propos de la drogue? Tu veux aider un ami? Va faire un tour sur ce site. D’autres jeunes comme toi y ont laissé des témoignages et il y a un forum d’entraide. Tu peux joindre des conseillers professionnels qui répondront à tes questions par courriel dans les 48 heures. Si tu as besoin de parler à quelqu’un rapidement, il y a aussi un service d’aide téléphonique pour toutes les régions du Québec : 1 800 263-2266. C’est gratuit, anonyme et confidentiel.

Jeunesse, j’écoute
Un site bilingue où tu peux partager une expérience et t’informer sur différents sujets. Besoin d’en parler à quelqu’un? Tu peux poser des questions par courriel et espérer une réponse dans les 3 à 6 jours qui suivent. Si c’est plus urgent, tu peux utiliser la ligne téléphonique pour communiquer avec un conseiller professionnel : 1 800 668-6868. Ça ne coûte rien et tu n’as pas besoin de donner ton nom.

Québec Jeunes
Tu veux savoir ce qui se passe dans le monde des jeunes d'ici et d'ailleurs… leurs bons coups, les difficultés qu'ils et elles rencontrent, les solutions possibles? Actualités et renseignements sur toutes sortes de sujets t'attendent sur le site de ce cyberjournal au service des jeunes. Son slogan, « Ados et fiers de l'être », donne une bonne idée de sa philosophie. Si tu veux participer, écrire un texte, réaliser un reportage, c'est le bon endroit.

Les différents moyens en France


Vous ou l'un de vos proches consomme de la drogue, vous êtes désemparé et ne savez comment vous faire aider. Vous avez plusieurs moyens à votre disposition, dans la majorité des cas ils sont gratuits et confidentiels :
Vous souhaitez avoir un avis de spécialiste, des conseils et une orientation :

• Vous pouvez consulter nos conseils généraux à la page Famille et Toxicomanie, et Sortir de la toxicomanie ainsi que les questions fréquentes à la page FAQ/Témoignages.
  
• Si vous n'y avez pas trouvé la réponse à vos questions => Contactez nous
  

Vous souhaitez un contact téléphonique pour en parler de vive voix, être écouté et conseillé. Vous pouvez appeler :

Drogues Alcool Tabac Info Service (DATIS)

• au 0.800.23.13.13 24h/24 et 7j/7, gratuit depuis un poste fixe.
  
• au 01.70.23.13.13 24h/24 et 7j/7 depuis un portable, coût d'une communication locale, .
  
• au 0.811.91.20.20 de 8h00 à 20h00 coût d'une communication locale, pour avoir un conseiller spécialisé sur le cannabis.
  
• au 0.811.91.30.30 de 8h00 à 20h00 coût d'une communication locale, pour avoir un conseiller spécialisé sur l'alcool.
  

DATIS intervient sur l'ensemble du territoire français.
Tabac Info Service au 0.825.309.310 (numéro indigo)
Pour avoir un conseiller spécialisé sur le tabac et des conseils pour arrêter de fumer.
Fil Santé Jeunes au 0.800.235.236
Tous les jours de 8 h à minuit, anonyme et gratuit.
Ce service offre aux jeunes une écoute individualisée en matière de santé physique, psychique et sociale par des psychologues et des médecins.

Vous voulez rencontrer un conseiller, vous pouvez :

Vous rendre dans une association spécialisée dans l'aide aux parents ou à la famille.
Vous rendre dans un Point Accueil Ecoute Jeunes (PAEJ) qui accueille jeunes et parents. Les PAEJ sont des lieux d’accueil, d’écoute et de parole qui s’adressent aux jeunes les plus en difficulté. Une de leurs missions est la prévention des conduites à risques. Les PAEJ abordent tous les problèmes liés à l'adolescence.
Les adresses se trouvent généralement en mairie ou auprès des psychologues scolaires ou sur le site gouvernemental www.drogues.gouv.frrubrique "Ressources / adresses utiles" ( www.drogues.gouv.fr/rubrique83.html ).
Vous rendre dans une Consultation Cannabis. Structures récentes, ces consultations spécialisées accueillent jeunes et parents, délivrent informations et conseils et aident à l'arrêt de la consommation.
Il existe plus de 240 Consultations Cannabis réparties sur l'ensemble des départements français.
Pour les adresses, rendez vous sur le site gouvernemental www.drogues.gouv.frrubrique "dossier cannabis / adresses des consultations",
( www.drogues.gouv.fr/rubrique87.html )
ou contactez DATIS au 0.811.91.20.20.
En parler à un psychologue scolaire.
Vous rendre dans un Centre Spécialisé de Soins aux Toxicomanes (CSST) (voir ci-dessous).

Vous voulez un avis médical, un soutien psychologique ou recherchez un centre d'accueil pour toxicomanes : parlez en à votre médecin et rendez vous :

Dans un Centre Spécialisé de Soins aux Toxicomanes (CSST),
il y en a plus de 250 en France répartis sur l'ensemble des départements.
Vous trouverez toutes les adresses sur le site gouvernemental www.drogues.gouv.frrubrique "Ressources / adresses utiles" ( www.drogues.gouv.fr/rubrique83.html ).
ou en appelant DATIS (voir ci-dessus).
Dans un Centre Médico Psychologique (CMP), vous trouverez les adresses dans les "Pages Jaunes" http://www.pagesjaunes.fr/pj.cgi en cliquant sur le "Guide" de "Activité" puis la rubrique "Santé, action sociale" puis "Etablissements de soins, service de la santé" puis "Centres médicaux et sociaux, dispensaires" ainsi qu'à la rubrique "Hôpitaux".
Dans une clinique psychiatrique (payante), vous trouverez les adresses dans les "Pages Jaunes" http://www.pagesjaunes.fr/pj.cgi en cliquant sur le "Guide" de "Activité" puis la rubrique "Santé, action sociale" puis "Etablissements de soins, service de la santé" puis "Cliniques psychiatriques"

En cas de crise grave, rendez vous aux services d'urgence des hôpitaux et des centres médico psychologiques.
Si vous cherchez de l'aide pour d'autres raisons => Numéros de téléphone utiles
Pour des explications sur les différents organismes d'aide et de soins, consultez dans la rubrique "La toxicomanie" les pages => La prise en charge des toxicomanes

Adresses dans les Yvelines


Si vous habitez les Yvelines ou les départements limitrophes, vous pouvez vous adresser aux structures suivantes :
Le "Centre d'Aide pour les Problèmes de Toxicomanie" (CAPT 78), association spécialisée dans l'aide aux usagers de drogue, aux toxicomanes et aux parents ou aux familles confrontés aux problèmes d'addiction ou d'usage de drogue de leurs enfants ou proches.
Le CAPT 78 organise tous les mois un groupe de parole pour les parents ou les proches.
=> Contacter le CAPT 78
Les Points Accueil Ecoute Jeunes :

L'écoutille, Lieu d'accueil et d'écoute anonyme et gratuit (jeunes et parents) :
2 rue des Champs Roger, 78400 CHATOU,
Accueil téléphonique : 01 39 52 35 54.
Reflex jeune : 5 rue Gaston Jouillerat, AUBERGENVILLE,
Accueil téléphonique : 01 30 90 36 63.
Point Ecoute Psychologique : 3 rue des droits de l'homme, GUYANCOURT,
Accueil téléphonique : 01 30 57 54 14.
Point Ecoute Jeune Prévention Toxicomanie :
2 rue Racine, BP 1140, 78204 MANTES-LA-JOLIE,
Accueil téléphonique : 01 30 94 60 02 ou 06 80 66 62 96
Point Accueil Jeunes : 6 impasse des Gendarmes, VERSAILLES,
Accueil téléphonique : 01 39 51 25 25.

Les Consultations Cannabis
Les Consultations Cannabis sont situées :

CEDAT MANTES-LA-JOLIE
122, boulevard Carnot - 78200 - Mantes-la-Jolie
Tel. 01 30 63 77 90
Consultation jeunes usagers : mercredi de 14h à 18h, avec rendez-vous.
Psychologue, éducateur.
CEDAT SAINT-GERMAIN-EN-LAYE
8 bis, rue d'Ourches - 78100 - Saint-Germain-en-Laye
Tel. 01 34 51 47 47
Consultation parents : lundi de 14h à 19h, avec rendez-vous.
Psychologue
CHI Léon Touladjan SAINT-GERMAIN-EN-LAYE
Service de Pédiatrie
20, rue Armagis - 78100 - Saint-Germain-En-Laye
Tel. 01 39 27 45 56
Consultation jeunes usagers : jeudi de 15h30 à 21h, avec rendez-vous.
Psychologue.
CEDAT VERSAILLES
79, bis boulevard de la Reine - 2ème étage et 3ème étage - 78000 - Versailles
Tel. 01 30 83 21 00
Consultation jeunes usagers : mercredi de 14h à 18h et vendredi de 15h à 19h, avec rendez-vous.
Psychologue.

Les Centres Spécialisés de Soins aux Toxicomanes (CSST) :

CEDAT de VERSAILLES (79 bis boulevard de la Reine)
Accueil téléphonique : 01 30 83 21 00
CEDAT de MANTES LA JOLIE (122 boulevard Carnot)
Accueil téléphonique : 01 30 63 77 90
CEDAT de SAINT GERMAIN EN LAYE (8 bis rue d'Ourches)
Accueil téléphonique : 01 34 51 47 47
CASA de TRAPPES (3 Place de la Mairie)
Accueil téléphonique : 01 30 69 98 18

Les Centres Médico Psychologiques (CMP)

Les CMP de secteur sont nombreux. Vous trouverez les adresses dans les "Pages Jaunes" à la rubrique "Centres médicaux et sociaux" ainsi qu'à la rubrique "Hôpitaux".
La liste des CMP est également disponible au numéro de téléphone de la consultation psychologique de l'hôpital André Mignot de Versailles (Consultations du lundi au vendredi - 4ème étage) : 01 39 63 93 80.

Les services d'urgence hospitaliers

Hôpital ANDRE MIGNOT
177, rue de Versailles - 78157 LE CHESNAY Cedex
Standard : 01 39 63 91 33
Hôpital RICHAUD
1, rue Richaud - 78000 VERSAILLES
Standard : 01 39 63 91 33
Hôpital Médico Psychologique EPS CHARCOT
30 rue Marc Laurent - 78370 PLAISIR
Standard : 01 30 81 86 00